Encore un pays qui change sa recommandation officielle, et rejoint notamment le gouvernement français à ce sujet.

Si vous n’avez pas lu mon article sur l’évolution des recommandations du gouvernement français, il est accessible ici :
Encore un pays qui change sa recommandation officielle, et rejoint notamment le gouvernement français à ce sujet.
Si vous n’avez pas lu mon article sur l’évolution des recommandations du gouvernement français, il est accessible ici :
C’est tout de même assez drastique…
(Désolé pour la qualité du screenshot, je ne comprends pas pourquoi elle se dégrade quand je le mets en ligne sur le site…)
Je crois que le graphique n’a pas besoin de commentaires. À part, peut-être : imaginez ce qu’il se serait passé si le chômage partiel n’avait pas été mis en place en France. Pôle Emploi aurait reçu un tsunami similaire.
Depuis le début de la crise du coronavirus, un peu plus de 30 millions de personnes ont perdu leur emploi aux États-Unis. En temps normal, le nombre d’emplois est de l’ordre de 150 millions, ce qui signifie qu’environ 20% des emplois ont été détruits en quelques semaines à peine. C’est un rythme absolument jamais vu.
Mais ces emplois sont-ils définitivement détruits ?
Probablement pas : il n’y a pas vraiment de mécanisme de chômage partiel aux États-Unis, et les entreprises ont été contraintes de licencier massivement pour ne pas faire faillite. Mais lorsque la reprise reviendra, une partie substantielle de ces entreprises embauchera à nouveau leurs anciens salariés.
Quelle proportion exactement ? C’est là toute la question.
Ce sondage montre que 80% des personnes licenciées pensent qu’elles retrouveront leur emploi à l’issue de la crise. Toutefois, certains économistes estiment que le taux sera probablement plus proche de 60%. Ce qui placerait le taux de chômage post-confinement aux niveaux de la crise de 2008-2009…
Après les prévisions de la Commission Européenne hier, la Banque d’Angleterre a dévoilé ses propres prévisions de croissance pour le Royaume-Uni pour 2020. Elle anticipe une croissance négative de 14%, ce qui constituerait la pire récession jamais enregistrée depuis 1706.
Elle explique également qu’un rebond de +15% est possible en 2021, mais que ça n’est qu’un scénario parmi de nombreux autres. J’avais abordé les scénarios de reprise possibles dans ce live.
Bonjour, c'est Olivier – alias L'Économiste Sceptique 🙂
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